Etude de l'impact de la surface des parois vitrées sur l'efficacité énergétique des bâtiments résidentiels
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L'accroissement des surfaces vitrées réduit le besoin bioclimatique (Bbio) d'un immeuble de logement collectif situé en zone H1b (la plus froide) et équipé de menuiseries dont le Uw=1,4 W/m².K Comparaison du BBio en fonction du ratio Surface des baies/Shab, avec des fenêtres double vitrages argon possédant les caractéristiques suivantes Uw=1,4 W/m².K, Sw=0,40 et Tl=0,60, pour différentes orientations. L'étude est faite à la base pour un ratio de baies vitrées de 1/6 réparti à 40 % au Sud, 20 % au Nord, 20 % à l'est, 20 % à l'Ouest. Les courbes de variations du BBio sont ensuite dessinées jusqu'à 25 % de baies vitrées pour chacun des 4 types d'orientation.
Conclusion : comme pour la maison individuelle, dans tous les cas l'accroissement des surfaces vitrées réduit le BBio, autrement dit augmente l'efficacité énergétique du bâti (BBio).
L'accroissement des surfaces vitrées augmente le besoin bioclimatique (Bbio) d'un immeuble de logement collectif situé en zone H1b (la plus froide) et équipé de menuiseries dont le Uw=1,8 W/m².K Comparaison du BBio en fonction du ratio Surface des baies/Shab, avec des fenêtres possédant les caractéristiques suivantes Uw=1,8 W/m².K, Sw=0,45 et Tl=0,60, pour différentes orientations. L'étude est faite à la base pour un ratio de baies vitrées de 1/6 réparti à 40 % au Sud, 20 % au Nord, 20 % à l'est, 20 % à l'Ouest. Les courbes de variations du BBio sont ensuite dessinées jusqu'à 25 % de baies vitrées pour chacun des 4 types d'orientation.
Conclusion : les fenêtres étant moins performantes (Ug plus grand que sur le précedent graphique), dans tous les cas l'accroissement des surfaces vitrées augmente le BBio, autrement dit réduit l'efficacité énergétique du bâti (BBio)
Découvrez le témoignage de Sandrine Porterie qui nous partage son parcours au sein du Groupe et nous plonge au cœur de l’agence d’Aix-en-Provence qu’elle dirige aujourd’hui.