C’est lors du dernier salon Pollutec que Wavin a présenté Q-Bic Plus, un nouveau module Saul (structure alvéolaire ultra-légère). Prolongeant Q-Bic, premier module lancé en 2011, Q-Bic Plus offre, selon son fabricant, un meilleur volume de stockage inspectable et nettoyable, et une modularité accrue pour s’adapter à toutes les configurations de projet et de gestion des eaux pluviales.
Car il ne s’agit plus aujourd’hui de diriger les eaux de pluie et de ruissellement dans une canalisation : l’intensité des phénomènes climatiques nécessite de véritables stratégies de gestion des eaux pluviales, que de plus en plus de communes et groupements de communes sont contraints de mettre en place.
Sur ce marché porté par les pluies diluviennes qui s’abattent désormais régulièrement sur certaines régions françaises, la croissance s’établit entre 10 et 12 % par an depuis 2009. Et tout laisse à penser que cela n’est pas prêt de s’arrêter : la nécessité faisant la volonté, avec ou sans taxe, la gestion des eaux de pluie à la parcelle va s’imposer, notamment la création de bassins de rétention/infiltration.
Sur ce marché de prescription, où les produits restent techniques et peu standardisés, Wavin veut maintenir ses positions. Dès le 5 janvier, son équipe de prescription comptera 10 personnes, soit une supplémentaire, qui pourront s’appuyer sur 6 commerciaux sédentaires et 10 ingénieurs et experts du terrain réunis au sein du Technopôle Wavin, qui a pour vocation de proposer un accompagnement personnalisé tout au long du projet.