Au second trimestre 2002, « le manque de vigueur de la demande et l’attentisme persistant de certains donneurs d’ordres ont encore pesé sur l’activité des entreprises du BTP dont les volumes d’affaires apparaissent toujours globalement en retrait sur 2001 », indique la Banque de France.
Les prévisions pour le second semestre « ne sont pas défavorables puisque les carnets de commandes, sans être aussi étoffés qu’en 2001, présentent néanmoins une consistance en principe suffisante pour parvenir à concrétiser les prévisions budgétaires établies en début d’année ». Dans un contexte concurrentiel très fort, les entreprises ne peuvent pas toujours « dégager des marges satisfaisantes ».