Au cours du premier semestre 1997, seulement 759 logements ont été mis en chantier dans le Val-d'Oise, soit une baisse de 14 % par rapport à la période correspondante de 1996.
En année glissante, la diminution est de 16 % et le volume des logements commencés dépasse à peine le plancher des 4 000.
La dégradation est forte pour l'individuel pur, épargné en 1996, avec seulement 205 logements commencés (-32 %). De même le collectif, qui se maintenait à un bon niveau jusqu'à présent, enregistre un recul de 19,5 % (394 mises en chantier). En revanche, l'individuel groupé, le plus touché jusqu'alors, se redresse au premier trimestre ( + 74 %).
Avec 1 067 logements autorisés au cours des trois premiers mois de l'année, soit une baisse de 36 % par rapport au premier trimestre de 1996, la situation ne devrait pas s'améliorer. Elle affecte particulièrement le collectif (-59 %).
L'individuel pur se maintient. En année glissante, le département n'atteint pas 4 000 logements autorisés.