1. Les points forts de la convention région/SNCF
- Clarification du rôle des partenaires, responsabilisation des parties (forfait coût, partage risque sur recettes), intéressement de la SNCF à la qualité.
(1) + 7,6 % constaté en 1997 (+ 16 % d'évolution du trafic entre 1993 et 1997, plan de restructuration de l'offre engagé depuis 1994 dans le cadre d'une convention transitoire avec la SNCF).
- En termes de résultats : mobilisation de la SNCF sur le fait régional ; progression de trafic ; approche plus fine des besoins ; méthodes de travail plus rigoureuses et précises ; questions d'aménagement du territoire clairement posées (service régional, service grandes lignes) ; question de l'arbitrage posée (affectation des « sillons » horaires).
2. Montant des investissements directs, réalisés et prévus
Matériels et infrastructures (subventions et acquisitions directes).
Jusqu'en 1997 (contrat de Plan essentiellement) : environ 900 millions de francs (pour une fin de contrat de Plan en 1999).
A partir de 1997 (convention expérimentale) : plan de renouvellement à court terme du matériel (1,2 milliard sur quatre ans).
3. Montant des investissements indirects réalisés et prévus
- Ligne budgétaire « aménagement des centres d'échanges » (intermodalité, parkings, etc.), subventions à des collectivités :
déjà réalisés (depuis 1996/1997) : 64,4 millions de francs (dont grandes gares lyonnaises) ;
prévu (1998) : 24 millions de francs.
Mise à niveau des gares (signalétique, peinture), plan en cours, réalisation 1998 : 500 000 francs.
Directeur régional SNCF : Robert Fiehrer. Directeur « transports et communications » au conseil régional : Christine Mesurole.