En 15 ans, le paysage urbain de la métropole dijonnaise s’est métamorphosé en se dotant d’équipements modernes, d’infrastructures de transport et de nombreux éco-quartiers. La métropole développe son offre immobilière, en accession ou en location, en adaptant les quartiers aux attentes des habitants (familles, actifs en mobilité et en formation, étudiants, seniors,…). Au total, ce sont 15 quartiers en cours d’aménagement et en projet, situés à proximité des emplois, équipements et services métropolitains, qui accueilleront les 20 000 habitants attendus à l’horizon 2030.
Au cours du Mipim, la métropole a donc présenté son offre immobilière qui combine de grands projets urbains structurants à des disponibilités foncières dans ses zones d'activités et une offre de logements dynamique pour répondre aux besoins des populations. Soit près de 250 000 m2 de surface dédiée aux entreprises tertiaires, plus de 20 000 m2 dédiés aux commerces, 200 ha dans les parcs d’activités, et plus de 4000 nouveaux logements disponibles d’ici à 2019.
Sous l’impulsion de François Rebsamen, Dijon a choisi de reconstruire la ville sur elle-même plutôt que d'urbaniser de nouveaux espaces, préservant ainsi à la fois son histoire architecturale mais également le foncier agricole du territoire. Cette démarche va permettre de porter l’ambitieux projet de Dijon, lauréat de l'appel à manifestation d'intérêt « Territoires d'innovation - grande ambition » (TIGA), de création un modèle d'autosuffisance alimentaire sur le territoire d'ici 2030.
Parmi les projets structurants, Dijon a mis en avant son projet de métropole intelligente prévu pour fin 2018 et la Cité Internationale de la gastronomie et du vin, qui ouvrira ses portes en 2019.
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