« Je l’ai depuis un an et deux mois », explique Manuel Carvalho, gérant de l’entreprise Kliméo, en parlant de son Maxus E Deliver 3. Après avoir hésité avec le Citroën Jumpy, il a finalement opté pour le Maxus, attiré par une compacité qui convient à ses besoins urbains. Implantée à Paris depuis 16 ans, son entreprise emploie neuf personnes et intervient dans tout Paris. Chaque membre de son équipe parcourt environ 50 km par jour. « Le Maxus est stationné toutes les nuits dans le parking de nos bureaux où on a une borne de recharge dédiée », précise-t-il, une organisation qui assure une autonomie suffisante pour chaque journée de travail. « La charge de trois heures pendant la nuit nous permet de tenir toute la journée », ajoute-t-il. Conscient de l’importance de la transition énergétique, Manuel Carvalho souligne qu’il est naturel pour son entreprise, qui installe des chaudières à économies d’énergie, de rouler en électrique. « Ça suffit de mettre du gazole. Aujourd’hui, avec l’électrique, nos coûts de carburant sont divisés par dix. » En effet, là où un plein de gazole pouvait coûter jusqu’à 120 euros, la recharge du Maxus ne dépasse pas 12 euros par nuit. C’est au Portugal, durant des vacances, que Manuel a découvert la marque Maxus. « Ils sont plus développés en Espagne et au Portugal qu’en France », note-t-il. Attiré par le rapport qualité-prix de Maxus, il a finalement passé commande via un contact portugais, avant de retrouver les équipes locales en France. « D’un point de vue tarifaire, Maxus reste très attractif, et leurs équipes sont à l’écoute de nos besoins », affirme-t-il, sans exclure d’acquérir un second véhicule électrique Maxus si les tarifs continuent de rester abordables.
Le choix de l’électrique pour s’adapter à Paris
Ce modèle électrique permet à l’équipe de Kliméo de naviguer facilement dans les rues étroites de la capitale. « Avec sa courte longueur et sa hauteur modeste, le Maxus est très compact, parfait pour circuler dans Paris et se garer », explique Manuel Carvalho. Son volume de chargement de 4,8 m³ permet de transporter matériel et outils sans difficulté pour ce type de métier d’artisan. Toutefois, il concède que l’autonomie reste un point à améliorer. « Aujourd’hui, on atteint des pointes de 280 km, mais il faut souvent recharger. Si on pouvait avoir 100 km de plus, ce serait vraiment bien. » Ce qui nécessite une réorganisation du travail pour son équipe : « nos techniciens doivent planifier leurs trajets et anticiper les recharges, et dès que le véhicule descend à 30 %, il est impératif de le recharger », raconte Manuel Carvalho. Manuel Carvalho passe beaucoup de temps dans son Maxus, un lieu de travail mobile où il gère appels et devis entre deux interventions. Les équipements de confort du véhicule – caméras de recul, amortisseurs, accoudoirs et climatisation – rendent les trajets agréables et conviviaux. « Pour un véhicule utilitaire, c’est largement suffisant », dit-il. « On a déjà eu des cas de batterie faible, mais nos équipes s’adaptent en fonction de l’état de charge pour optimiser les trajets », explique Manuel Carvalho. Pour Manuel Carvalho, l’adoption du Maxus E Deliver 3 est un pari sur l’avenir de son entreprise, alliant pragmatisme financier et responsabilité écologique.