Le soumissionnaire ayant, en plus, proposé d'effectuer ce travail pour environ 450 millions d'euros, montant légèrement inférieur au budget prévu par la ville, sa désignation est donc plus que probable. Dans la formule d'appel d'offres adoptée par la ville, le prix compte pour 60% des points, la réduction du délai de livraison pour 6% et la prolongation de la garantie concernant d'éventuels défauts de construction pour 32%. La ville espère que cette partie de la ligne 2 sera opérationnelle en 2022, a indiqué la porte-parole du métro Anna Barton.
Le concours d'architecture concernant ce projet, organisé en 2015, a été remporté par la société polonaise ILF Consulting Engeneers Polska. Le budget semble relativement important, car au terminus il est prévu de construire une immense halle avec onze voies destinées à permettre à la fois les manœuvres des rames et leur stationnement. Un long couloir souterrain est également prévu pour permettre aux passagers du métro de rejoindre un arrêt de tramway. Le même consortium est en compétition avec une société chinoise dans un appel d'offres portant sur un tronçon analogue à l'extrémité ouest de la ligne 2. La décision est attendue fin mai ou début juin.