Technolia
> En avril 2006, Technolia, a pu réaliser une levée de fonds de 1,2 million d’euros. « Cela nous a donné l’oxygène nécessaire pour finaliser des développements techniques sur nos bornes Statio’Pass, et nous aider au développement commercial », explique Marc de la Croix-Vaubois, co-gérant. Du coup l’effectif est passé de 7 à 12 personnes. Cette année, l’entreprise s’est également intéressée à l’Europe, et a pu nouer des contacts « très avancés » avec l’Espagne. L’idée des dirigeants est, à terme, de faire de Technolia une holding – Technolia International – dotée de filiales européennes.
Vectuel
> L’année 2006 a été riche en événements pour la jeune pousse spécialisée dans la réalisation de maquettes 3D. Leur logiciel Vectuel Story est aujourd’hui utilisé pour des simulations de grands projets d’urbanisme, comme le projet de renouveau urbain de la ville de Poitiers ou celui du nouveau siège social de la Macif, à Paris. En mars 2006, l’entreprise a augmenté son capital afin de « conforter les capitaux propres et se donner de la souplesse dans la gestion », avance Fabrice Simondi, développeur. Enfin, l’entreprise, qui compte aujourd’hui 8 personnes, cherche des partenaires pour développer des « petites sœurs Vectuel ». L’objectif : en créer 3 en France, et une dans chaque pays européen.
SMC2
> Les jeunes dirigeants de SMC2, entreprise spécialisée dans la couverture textile, tiennent le cap. 2 millions d’euros de CA réalisés en 2005, comme prévu, et une accélération sur 2006, avec plus de 4 millions d’euros. « Nous nous sommes beaucoup développés sur le sport et loisirs, explique Samuel Guillemard, co-fondateur, avec des projets intéressants de couverture de tennis et de plateaux multisports. » En outre, l’entreprise a embauché en mai le commercial qu’elle recherchait et compte aujourd’hui 3 chefs monteurs. Une équipe qui devrait encore s’enrichir rapidement compte tenu de l’ampleur des projets en cours, en Guyane, notamment.
CBA
> La PME du Bas-Rhin, spécialiste des systèmes semi-industrialisés pour béton, a étendu son champ d’action en 2006. « Avant, nous ne faisions que du neuf. Plusieurs clients nous ont amenés, à leur demande, à réaliser des chantiers en réhabilitation, explique son gérant. Sur cette nouvelle activité, nous avons monté deux équipes. Pour faire face à tous ses marchés, CBA a dû recruter. Aujourd’hui, nous sommes 14 salariés (8 en septembre 2005), sans compter les intérimaires et les sous-traitants. A 43 ans, je suis le plus âgé de l’entreprise. Je cherche encore un chef de chantier et deux compagnons (dont un expérimenté). »
Altempo
> Tout va bien pour la jeune entreprise alsacienne spécialisée dans les installations provisoires de chantier. En 2006, elle a plus que doublé son chiffre d’affaires et engrangé de beaux chantiers. Dernières livraisons en date : la réalisation des installations de chantiers pour les travaux de la Maison de la radio à Paris ; gare Saint-Lazare, la réalisation d’un espace de vente provisoire de 1000 m2 (comprenant des commerces) pour la SNCF. La PME a développé deux marchés : les installations provisoires pour la SNCF (gares de l’Est à Paris, de Rennes) et l’Education nationale (collèges, écoles élémentaires). Fort de son développement francilien, Thierry Munier crée avec un associé une seconde entreprise à Paris.
Wirecom Technologies
> L’entreprise orléanaise, spécialisée dans la maîtrise à distance des dépenses énergétiques des bâtiments, se développe à vitesse grand V. Son chiffre d’affaires a plus que doublé depuis l’an dernier (1,7 million d’euros pour 2006), ses agences commerciales font des petits – 10 existantes sur 14 zones identifiées – et ses références se multiplient – 200 sites à ce jour. Un « grand déploiement national », comme le reconnaît son P-DG Thierry Allard, rendu possible grâce à une levée de fonds en début d’année de 2,4 millions d’euros.
340 technologies
> Février 2006, ce fabricant de dalles de correction acoustique verticales a réalisé un beau chantier : la nouvelle piscine flottante Joséphine-Baker à Paris. « Nous avons effectué l’acoustique intérieure. » Une belle référence pour cette PME qui peine à faire connaître son produit. « Le plus dur est d’amorcer la pompe », estime Didier Pancher. Il va procéder à une augmentation de capital de 100 000 euros pour injecter de l’argent dans l’entreprise lui permettant « de participer à des salons importants pour faire connaître le produit ».
Aquaterra Solutions
> Stéphane Couret est un gérant heureux : « nous terminons notre 2e exercice en doublant notre chiffre d’affaires (1,5 million d’euros entre septembre 2005 et août 2006). Nous sommes débordés de travail. » En deux ans, Aquaterra a imposé sur le marché ses gabions électrosoudés. « Aujourd’hui, nous sélectionnons nos projets, avoue Stéphane Couret. L’entreprise devient connue et le bouche à oreille fonctionne bien. Notre principal souci est le recrutement. »
