Le Japon croit encore en ses chances d'accueillir le futur réacteur de fusion expérimental Iter, contre le site français de Cadarache, près de Marseille (sud).
"Nous voulons concourir équitablement et honnêtement au mieux de nos capacités", a indiqué jeudi un haut fonctionnaire du ministère de l'Education, des Sciences et de la Technologie.
"Puisqu'il s'agit d'un projet très important pour l'énergie de l'avenir, nous voulons nous assurer que notre pays réussira", a-t-il ajouté.
Le site de Rokkasho-mura, au nord du Japon, est considéré comme le principal rival de Cadarache qui a été choisi mercredi par l'UE pour défendre les couleurs européennes.