HCFC : les réduire de moitié d’ici 2040

Le protocole de Montréal de 1987 est l’accord multilatéral environnemental le plus couronné de succès. Sa poursuite doit permettre de reconstituer la couche d’ozone.

L'addition des mesures internationales, de l’implication des entreprises et de l’évolution des réglementations nationales a-t-elle eu raison de l’impact des gaz réfrigérants sur la couche d’ozone et sur l’effet de serre ? Il semblerait que oui. Signé en 1987, le protocole de Montréal est qualifié par le comité technique européen sur les fluorocarbones (EFCTC) d’accord multilatéral environnemental le plus couronné de succès. Un avis qui reprend l’étude réalisée en 2006 par un groupe d’experts internationaux (Velders, Andersen, Daniel, Fahey et McFarland) pour qui ce texte avait plus d’importance au regard de la maîtrise du changement climatique que le protocole de Kyoto qui va s’appliquer pour la période 2008-2012.

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