Les cinq lauréats de la biennale Forme publique 2016 - La Défense
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Plancher de travail Avec le designer polonais Pawel Grobelny, le bureau s’agrippe à la dalle. Ses « Plateformes de travail urbaines » profitent des reliefs du sol – un escalier, un bassin… - pour offrir un espace où poser ses dossiers et brancher son ordinateur. L’occasion de peaufiner sa présentation avant un rendez-vous dans une des tours des environs.
Mobilier à bascule Assise, miroir, garage à vélo… les modules imaginés par l’agence Chape & Mache (Aurélie Chapelle et David Machado) sont multitâches. Il suffit d’installer ces « Abris basculés » dans un sens plutôt qu’un autre, en fonction de l’usage principalement recherché. Les autres utilisations deviennent alors secondaires ou, même, être totalement détournées.
Chalet girouette Malicieusement traduit par l’agence d’architecture Tu-Du (Maia Tüur et Yoann Dupouy), le thème du « Village global » devient « Aux pieds des tours du monde globalisé se dressent des petits chalets de village de montagne ». « Les Refuges de La Défense », abris de bois et de métal, permettent de se protéger des éléments… et on peut même les orienter selon le sens du vent ou des rayons du soleil puisqu’ils sont montés sur une roue.
Frondaisons piétonnières A La Défense, entre le sommet des tours ou le sol de la dalle, il y a la canopée des arbres. Alors pourquoi ne pas s’y installer ? « La rue des utopies » de l’agence genevoise de design industriel (Florian Lopez et Constantinos Hoursoglou) est un parcours de 60 mètres dans le feuillage. Des cabanons permettent même de s’y poser pour travailler… ou pour rêver.
Découvrez le témoignage de Sandrine Porterie qui nous partage son parcours au sein du Groupe et nous plonge au cœur de l’agence d’Aix-en-Provence qu’elle dirige aujourd’hui.