Pour Frédéric Edelmann, «Réinventer Paris 1 et Réinventer Paris 2, pas plus dans leur forme que dans leur fond, n’avaient fait l’unanimité d’une profession sinistrée».
Lancés par la Ville de Paris, sous la houlette d’Anne Hidalgo et de Jean-Louis Missika, ces deux concours s’affichaient, selon lui, comme «des partenariats entre des promoteurs, sollicités pour se faire du bien, et des équipes d’architectes, sollicitées pour leur faire du bien, ainsi que pour mettre en valeur l’action de la mairie.»
Réinventer la Seine procède du même schéma sur la forme. Mais sur le fond… «On se trouve ici, sans exception et malgré la participation de quelques architectes estimés, face à un vrai déficit conceptuel.»