Il faut profiter des événements climatiques de début 2014 pour aller plus vite que ce que nous imaginions. La loi Littoral offre des possibilités d’interprétation en région. En Aquitaine, nous sommes volontaires. Avec le GIP, nous avons l’outil pour innover. Il ne faut pas se contenter de recharger les plages. Nous ne pouvons pas non plus demander aux activités impactées par l’érosion de déménager à 50 km du littoral. Il faut trouver des réponses adaptées pour un développement raisonné. Je demande aussi que les conséquences financières soient couvertes pleinement par le Fonds de prévention des risques naturels majeurs, dit fonds Barnier.
