« Après un démarrage prometteur, les marchés de ces produits connaissent depuis trois ans des reculs très significatifs qui remettent en cause la pérennité de la filière particulièrement en termes d’emplois », s’alarme l’Association française pour les pompes à chaleur (Afpac). « Faute de volumes significatifs, nous constatons depuis un an des périodes de chômage technique importantes, des licenciements et des disparitions d’entreprises. Actuellement ces phénomènes s’accélèrent », avertit-elle dans un communiqué.
L’Afpac déplore que la nouvelle réglementation thermique se révèle plus favorable aux chaudières à gaz qu’aux appareils utilisant l’électricité.