Avec un accent « kennedien » le ministre a ainsi insisté sur la frontière technologique, pour laquelle la France, avec ses entreprises est bien placée.
Arnaud Montebourg a par ailleurs remercié le groupe industriel français Alstom d'avoir épargné la France dans son plan de restructuration, en supprimant une centaine de postes dans le pays sur les 1 300 concernés. Le plan d'économies d'Alstom en France concerne 80 personnes sur trois ans, essentiellement des informaticiens, a-t-il indiqué, se réjouissant que les sites de production ne soient pas touchés. Parallèlement, Alstom construit quatre usines en France dans les énergies renouvelables et embauche chaque année entre 1 000 et 1 500 personnes, a-t-il poursuivi. « C'est une entreprise qui a été sauvée par l'Etat français et qui doit beaucoup à la France, et je crois qu'elle le lui reconnaît bien », a-t-il insisté.