Le 8 novembre, s'est ouvert en appel, à Caen, le procès pénal pour travail dissimulé sur le chantier du réacteur nucléaire EPR . En 2015, Bouygues TP et Quille avaient respectivement écopé d'une amende de 25 000 euros et de 5 000 euros devant le tribunal correctionnel de Cherbourg. L'avocat général a requis un doublement de ces peines.
Bouygues TP, Quille, sa filiale, et l'entreprise Welbond Armatures avaient été condamnés pour avoir eu recours, entre 2008 et 2012, aux services d'une agence d'intérim et d'une entreprise roumaine accusées de travail dissimulé. Décision attendue le 20 mars.