La cure d'austérité et la politique de maîtrise des dépenses publiques menées par l'équipe de Jean Germain, a permis à la ville de Tours, malgré un endettement important (l'encours s'élève à 1,8 milliard de francs), de recouvrer une capacité d'investissement assez significative.
Au budget primitif 1998 adopté définitivement en mars, sur 1,931 milliard de francs, les investissements vont s'élever à 225 millions, dont 36 millions de subventions d'équipement. Une hausse de plus de 22 %.
PRINCIPAUX PROJETS
Poursuite de l'aménagement du quartier des Deux-Lions : 22,5 millions. L'ex-technopôle tourangelle est devenue un quartier « mixte » qui accueillera commerces, complexe cinématographique et logements de type intermédiaire.
Le « barreau routier nord-est » : 28 millions.
Amélioration du réseau de transports urbains : 36 millions.