La Société nationale immobilière (SNI), qui dispose d'un parc d'environ un millier de logements dans l'agglomération toulousaine, assure un effort particulier pour la remise en état de centaines de logements devenus en partie inhabitables à la suite de l'explosion de l'usine AZF.
Des travaux qui concernent surtout deux ensembles très touchés, la résidence Niel (38 pavillons) et un immeuble de 197 appartements dans la cité Empalot. Ces travaux représentent un investissement de 1,98 million d'euros. Par ailleurs, 1,29 million d'euros est consacré, à la demande du secrétariat d'Etat au Logement, à l'achat d'une cinquantaine de mobiles homes destinés à reloger provisoirement les familles sinistrées.
Basée à Bordeaux, la direction régionale de la SNI, société à capitaux publics détenu à 74 % par l'Etat et à 26 % par la Caisse des dépôts, gère un parc de 8 000 logements et prévoit la construction de 300 logements supplémentaires d'ici à 2003.
