La majorité des maires du Val de Suse (Italie), qui doit être traversé par la future ligne à grande vitesse entre Lyon et Turin, a levé son veto au projet de tracé pour la portion italienne proposé par les pouvoirs publics italiens. Ils ont adopté dimanche les grandes lignes du projet, indique lundi la presse transalpine. Le document sera présenté à la mi-juillet au gouvernement de Silvio Berlusconi pour approbation définitive.
Fin novembre 2007, la Commission européenne a affecté 671 millions d'e à la section transfrontalière dans le cadre de la programmation budgétaire 2007-2013. Trois descenderies ont déjà été réalisées pour la portion française.
L'ensemble de la ligne doit être opérationnelle entre 2020-2022.
Hugues Boulet
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