Un "Atelier d’information sur les opportunités du marché kenyan" s’est déroulé, le 4 novembre, au ministère français de l’Économie et des Finances. Des groupes déjà implantés dans le pays, dont l’ingénieriste français Egis, ont partagé leur expérience sur le terrain. Assistaient à cette réunion Bureau Veritas, trois filiales d’Eiffage (Clemessy, Eiffage travaux publics et Eiffage Energie Transport et Distribution), Entrepose Project, Razel-Bec (groupe Fayat), Safege, Saint-Gobain et Sogea Satom (groupe Vinci).
Le Kenya devrait connaître une croissance économique de près de 5,8 % en 2013, selon le FMI. Lors de cet atelier, Ubifrance a rappelé que le pays d’Afrique de l’Ouest doit entreprendre des travaux de modernisation de ses infrastructures routières, ferroviaires, portuaires et aéroportuaires. L’agence publique d’aide à l’export pour les entreprises françaises a également insisté sur le fait qu’une classe moyenne était en train d’émerger dans le pays, représentant actuellement environ 20% de la population. L’État kenyan a placé l’urbanisme, la construction de logements et les transports publics parmi les secteurs prioritaires.
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