A Marseille, les réseaux sociaux malmènent le projet d’extension-rénovation du stade Vélodrome

En plus des difficultés inhérentes à un projet mené dans un stade qui continue à accueillir le public, Arema doit se défendre de réaliser un projet « au rabais ».

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Le futur Stade Vélodrome de Marseille

Après le coup de gueule poussé par l’Handifan Club OM sur les conditions d’accueil des personnes handicapées dans le futur Stade Vélodrome, c’est une nouvelle polémique, partie des réseaux sociaux, que doivent éteindre Arema, en charge du PPP, et la Ville de Marseille.

Elle touche cette fois-ci à la qualité de la rénovation du Vélodrome (267 millions d’euros) et notamment à son niveau de finition qui, selon les supporters qui ont allumé cette mèche sur le Net, en se basant sur les images et vidéos du projet, ne correspondrait pas aux résultats attendus.

Parmi les griefs soulevés par ces supporters, la couleur des sièges, la charpente galvanisée (et non de couleur blanche), l’aspect futur de la couverture…

Chez Arema, lié par un strict cahier des charges à ses actionnaires et aux collectivités, c’est l’incompréhension. « Imaginer comme on peut le lire, qui plus est en période de crise, que les collectivités qui investissent de telles sommes dans ce projet le feraient pour un stade "au rabais" n’a pas de sens et est choquant pour les centaines de travailleurs qui participent à ce beau projet », précise un communiqué d’Arema qui rappelle également que le Vélodrome est un équipement municipal polyvalent dont l’OM n’est pas l’utilisateur exclusif…

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