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Industrie mécanique : réussir sa transition numérique pour répondre aux objectifs de productivité de demain

Comment l’industrie 4.0, via l’adoption des nouvelles technologies, constitue-t-elle le principal défi des industries de la mécanique ? Et en quoi les logiciels CFAO en font partie ?

TOPSOLID
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Robotisation, mise en place de systèmes de gestion, simulation, jumeau numérique, gestion de la production, gestion de l’atelier, Cloud computing… Dans la décennie à venir, toutes les entreprises du secteur devront s’atteler à la mise en œuvre d’une ou de plusieurs de ces technologies. Cependant, pour que celles-ci soient réellement efficaces, il est indispensable qu’elles soient communicantes. Logiciels de conception et de fabrication assistées par ordinateur (CFAO), de gestion et de planification d’entreprise (ERP), de pilotage de la production (MES), de gestion du cycle de vie d’un produit (PLM), système de gestion d’atelier… Une fois équipées, le défi pour les entreprises sera donc de rendre tous ces systèmes interopérants afin d’assurer la continuité numérique, depuis la conception jusqu’à la production.

La transition numérique regroupe deux tendances technologiques : la dématérialisation des activités et l’interconnexion. Les objets, les logiciels, les machines et les personnes sont de plus en plus interconnectés, permettant un gain de temps considérable dans les processus de production. En raccourcissant les temps d’étude. En créant un modèle numérique du produit que l’on peut simuler, tester et valider, avant même d’avoir fabriqué la première pièce. En permettant l’amélioration continue et l’expérimentation virtuelle. En connectant tous les systèmes intervenant dans la chaîne de production et en ouvrant la porte à des changements en temps réel dans cette gestion de production. En mesurant précisément l’efficacité des systèmes de production : il est alors possible d’agir en cycle court sur ceux-ci et d’améliorer la qualité et/ou l’efficacité des processus.

Mais également une meilleure production pour les entreprises de l’industrie. En effet, la simulation permet de tester les produits avant même de les avoir fabriqués, ce qui représente un gain non seulement de temps, mais aussi de matières premières et d’énergie. Les algorithmes améliorent l’efficacité des processus de production : en usinage, par exemple, le calcul de trajectoires efficaces permet de réduire les temps de production, l’usure des outils, les efforts sur les machines, et par conséquent la consommation d’énergie

À quels besoins doit répondre un logiciel de CFAO et de gestion communicant et en quoi peut-il être interconnectable ?

  1. En premier lieu, un logiciel de CFAO et de gestion doit permettre de concevoir librement, de la simple pièce aux plus grands assemblages, et ce, de la façon la plus optimale possible. Pour être optimale, la conception de mécanisme doit s’appuyer sur différentes méthodologies d’assemblage.
  2. Dans un second temps, le logiciel de CFAO doit proposer une traçabilité sans faille de la conception et de tous les documents produits, à la fois au niveau du processus de conception et de celui de la fabrication.
  3. Aujourd’hui, un produit, qu’il s’agisse d’une machine spéciale ou d’un véhicule, est composé en grande partie de composants standards issus de fournisseurs externes. Importer des composants externes et leur apporter de l’intelligence, en termes de positionnement et de procédés d’usinage, est un facteur important de productivité.
  4. Parce que l’interopérabilité des logiciels est essentielle, il existe des outils tels que TopSolid disposant d’interfaces compatibles avec la plupart des autres systèmes de CAO, ainsi que d’interfaces compatibles avec des formats 3D neutres (Parasolid, Acis, STEP…). L’interopérabilité s’entend en termes de géométrie, mais aussi d’information pour la fabrication (PMI = Product Manufacturing Information).
  5. Ces plans et ces nomenclatures restent essentiels dans le processus de production, même si -l’objectif à long terme est de réussir à s’en passer, au profit d’une représentation 3D enrichie de cotes et d’informations de fabrication. La production des plans et des nomenclatures doit être automatisée au maximum. En effet, l’époque où l’on passait beaucoup de temps à la réalisation de la mise en plan est quasiment révolue. Désormais, le système génère de façon automatisée les mises en plan cotées d’ensembles, de sous-ensembles, de pièces.
  6. La liaison étroite entre la conception et la gestion représente un facteur important de productivité. Il est donc important de choisir un outil permettant cette liaison : TopSolid est un des rares éditeurs de CAO à disposer d’un ERP nativement lié à la CAO. Il reste cependant facilement connectable à tout ERP du marché grâce à ses deux niveaux d’API (API = Application Programming Interface = Interface de programmation d’application) : Automation et ADS (Application Development System).
  7. Intégrer des fonctions permettant d’effectuer de la revue de projet. Il s’agit d’un ensemble de fonctionnalités permettant de collaborer et de partager différentes vues d’un projet à un groupe d’utilisateurs. En effet, un projet doit pouvoir être présenté dans différentes configurations. Un mécanisme, par exemple, doit pouvoir être présenté dans différents états de fonctionnement. Le projet doit pouvoir être partagé avec des utilisateurs externes techniques ou non techniques.

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